Inscrite au Patrimoine mondial de l’UNESCO et deuxième ville de Croatie, Split a la particularité de s’être construite d’abord à l’intérieur du palais de Dioclétien, puis à l’extérieur. Celui-ci se visite : l’entrée coûte 30 kunas (15 kunas pour les étudiants), et le tour requiert un peu plus d’une demi-heure. On y apprend notamment la construction et l’histoire de la ville depuis le début du Ier millénaire. Intéressant pour les amateurs d’histoire et les curieux qui veulent en savoir plus sur Split…
La vieille ville de Split vaut également le détour : elle recèle de beaux bâtiments. Si vous voulez entrer dans les édifices religieux, pensez à mettre un pantalon et un tee-shirt avec des manches.
Bordé de palmiers, le port de Split est très joli et animé. Des bus desservent les environs de la ville, pour 11 ou 13 kunas selon la distance.
J’ai été me baigner sur la presqu’île du Marjan, connue pour ses beaux paysages. Mais je n’ai pas été convaincue : il y a beaucoup de monde et ce n’est pas spécialement joli.
Lors de ce séjour, j’ai dormi au Camping Stobreč. Placé à 30 minutes de bus à l’st de la ville et à 178 kunas la nuit, c’est pourtant le plus proche et le moins cher. Si vous aimez les campings usine avec des centaines de campeurs et une multitude de services, alors cela vous plaira ; personnellement j’ai détesté. Certes, il dispose d’une plage privée, de grands sanitaires modernes, d’espaces verts, etc., mais le camping est très cher et saisit chaque occasion de faire payer ses clients. L’enregistrement à l’accueil a demandé quasiment une heure de queue, les douches sont payantes, il y a des frais d’inscriptions par personne et non par dossier, etc. Enfin, toutes les tentes se partagent un minuscule emplacement recouvert de sable qui s’introduit partout. Bref, selon moi, un camping à éviter.